En 1890, George Eastman avait reconnu que des employés fortement impliqués constituaient la pierre angulaire de son entreprise. Lorsqu’il commença à verser des dividendes à ses employés de sa poche, il découvrit qu’une petite prime suffisait pour encourager les employés à accomplir leurs tâches mieux que le prévoyaient leurs descriptions de tâches.
La différence entre ce qu’un travailleur est tenu de faire et le rendement supérieur dont il est capable se définit comme « l’effort discrétionnaire ». Il s’avère que le comptant qu’Eastman versait à ses employés revêtait peut-être moins d’importance que le temps qu’il prenait pour reconnaître leurs contributions.
Inscrivez-vous et réservez votre place maintenant. C’est gratuit!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire