J’écris aujourd’hui pour annoncer que Rideau commanditera un nouveau dossier Éducation et communauté du Human Capital Institute sur les récompenses et les incitations pour nos lecteurs anglophones.
Ce dossier renferme différentes ressources pour les professionnels des RH afin d’encourager la créativité, l’innovation, le développement et la loyauté des employés.
Vous y trouverez des webémissions, documents de présentation technique et diaporamas sur les outils utilisés par les employeurs pour motiver et engager les employés.
Allez voir et voyez ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas !
jeudi 26 février 2009
lundi 23 février 2009
Questions sur les récompenses et la reconnaissance
Le magazine Incentive m’a invité ainsi que plusieurs autres experts de la motivation des employés à faire partie d’un groupe qui répondra aux questions des lecteurs sur les récompenses et la reconnaissance. Le groupe est composé des membres de la RPI Cheryl Miller de Wells Fargo, Michelle Smith de O.C. Tanner, Kevin Cronin de Perks.com et de votre humble serviteur.
Cliquez ici pour lire ma réponse (en anglais) à la question : «Comment justifier la reconnaissance et les récompenses accordées aux hauts dirigeants en ces temps difficiles ?» ainsi que la solution à d’autres énigmes !
Cliquez ici pour lire ma réponse (en anglais) à la question : «Comment justifier la reconnaissance et les récompenses accordées aux hauts dirigeants en ces temps difficiles ?» ainsi que la solution à d’autres énigmes !
jeudi 19 février 2009
Et l’engagement des employeurs alors ?
Combien de fois avez-vous entendu parler de « l’engagement des employés » ? Si vous comptez parmi la majorité des professionnels du secteur des ressources humaines, vous en avez entendu parler trop souvent et pour être honnête, je crois que nous mettons la charrue avant les bœufs !
Je vous explique…
Le mot “engagement” dans nos vies personnelles est une promesse entre deux personnes. C’est une route à deux sens ! Et je ne crois pas qu’une entreprise puisse obtenir un engagement sérieux de la part de ses employés s’il n’existe pas de véritable « engagement de l’employeur. »
On considère que les employés sont engagés lorsqu’ils ont un sentiment d’appartenance envers la compagnie. Mais qui représente la compagnie ? Ce sont vos directeurs et s’ils n’ont aucun contact émotionnel avec les employés, il n’y aura pas d’engagement. En d’autres mots, il faut être deux pour danser le tango !
Je crois qu’on insiste beaucoup trop sur l’engagement des employés et pas assez sur celui des employeurs. Les compagnies et leurs directeurs doivent en faire davantage pour que leurs employés soient engagés.
Future Shop est une compagnie qui a réussi à obtenir l’engagement de ses employés. Dans un récent numéro de la revue WorkPlace-Mag.com, un article donnait les détails sur les moyens utilisés par Future Shop pour atteindre les employés avec des avantages innovateurs. Parmi ces avantages, il y a la possibilité d’aller à l’université à partir du magasin ! Super n’est-ce pas ? L’Université Future Shop donne une formation sur le leadership à ceux qui désirent devenir directeur général. Les directeurs de magasin Future Shop ont reçu des augmentations partiellement reliées à l’engagement de leurs employés. L’engagement de l’employeur porte ses fruits : le roulement chez Future shop s’est amélioré de 10 % sur une période de deux ans.
L’engagement de l’employeur...essayez ça. Ça fonctionne !
Qu’en pensez-vous ?
Je vous explique…
Le mot “engagement” dans nos vies personnelles est une promesse entre deux personnes. C’est une route à deux sens ! Et je ne crois pas qu’une entreprise puisse obtenir un engagement sérieux de la part de ses employés s’il n’existe pas de véritable « engagement de l’employeur. »
On considère que les employés sont engagés lorsqu’ils ont un sentiment d’appartenance envers la compagnie. Mais qui représente la compagnie ? Ce sont vos directeurs et s’ils n’ont aucun contact émotionnel avec les employés, il n’y aura pas d’engagement. En d’autres mots, il faut être deux pour danser le tango !
Je crois qu’on insiste beaucoup trop sur l’engagement des employés et pas assez sur celui des employeurs. Les compagnies et leurs directeurs doivent en faire davantage pour que leurs employés soient engagés.
Future Shop est une compagnie qui a réussi à obtenir l’engagement de ses employés. Dans un récent numéro de la revue WorkPlace-Mag.com, un article donnait les détails sur les moyens utilisés par Future Shop pour atteindre les employés avec des avantages innovateurs. Parmi ces avantages, il y a la possibilité d’aller à l’université à partir du magasin ! Super n’est-ce pas ? L’Université Future Shop donne une formation sur le leadership à ceux qui désirent devenir directeur général. Les directeurs de magasin Future Shop ont reçu des augmentations partiellement reliées à l’engagement de leurs employés. L’engagement de l’employeur porte ses fruits : le roulement chez Future shop s’est amélioré de 10 % sur une période de deux ans.
L’engagement de l’employeur...essayez ça. Ça fonctionne !
Qu’en pensez-vous ?
lundi 16 février 2009
Les amis au travail - ça marche !
Tel que déjà mentionné, l’organisation Gallup a posé 12 questions à 10 millions d’employés dans 114 pays. Chaque question aidait à expliquer la différence entre les employés engagés et activement désengagés.
La dixième question était : “Avez-vous un ami au travail ?” La raison de cette question est que Gallup a découvert que les employés ayant un ami au travail étaient 7 fois plus engagés que ceux qui n’en avaient pas !
C’est une statistique remarquable mais si vous y pensez, ça n’a rien de vraiment surprenant...
Nous passons la majeure partie de notre temps au travail et, qui n’aimerait pas travailler avec un ami ?
Chez Rideau, nous favorisons une culture d’amitié. Nous avons une équipe de hockey Rideau (nous sommes vraiment bons, si je peux ainsi dire) et même une meilleure équipe de soccer grâce à Beyas Bonde, notre meneuse qui a joué pour l’équipe junior nationale du Cameroun. (J’espère que les joueurs de hockey ne liront pas ça ou malheur à moi !) Mes fils voulaient même créer une équipe de poker chez Rideau...mais j’hésite !
Nous organisons plusieurs autres événements favorisant les relations amicales. Et ça fonctionne...
Hamud Zaman travaille depuis plus de 15 ans dans notre service Admin. Mylene Boetsch travaille au même endroit depuis 6 ans. Les deux jouent dans notre équipe de hockey. Ils se sont mariés l’an dernier ! Et ils viennent juste d’avoir leur premier enfant...je leur ai dit que le second prénom devrait être Rideau !
Le fait de travailler avec des membres de la famille et des amis chez Rideau a créé une incroyable culture de convivialité.
Nous aidons quand un individu a beaucoup de travail. Nous partageons les fardeaux de chacun. Nous partageons les joies de chacun.
Et, le plus important, nous avons du plaisir au travail !
Je ne suis donc pas surpris que le fait d’avoir un ami au travail est un indicateur d’engagement. C’est ainsi depuis des années chez Rideau.
Et, ai-je mentionné que Samra, la soeur de Hamud travaille chez Rideau depuis 3 ans ?
La dixième question était : “Avez-vous un ami au travail ?” La raison de cette question est que Gallup a découvert que les employés ayant un ami au travail étaient 7 fois plus engagés que ceux qui n’en avaient pas !
C’est une statistique remarquable mais si vous y pensez, ça n’a rien de vraiment surprenant...
Nous passons la majeure partie de notre temps au travail et, qui n’aimerait pas travailler avec un ami ?
Chez Rideau, nous favorisons une culture d’amitié. Nous avons une équipe de hockey Rideau (nous sommes vraiment bons, si je peux ainsi dire) et même une meilleure équipe de soccer grâce à Beyas Bonde, notre meneuse qui a joué pour l’équipe junior nationale du Cameroun. (J’espère que les joueurs de hockey ne liront pas ça ou malheur à moi !) Mes fils voulaient même créer une équipe de poker chez Rideau...mais j’hésite !
Nous organisons plusieurs autres événements favorisant les relations amicales. Et ça fonctionne...
Hamud Zaman travaille depuis plus de 15 ans dans notre service Admin. Mylene Boetsch travaille au même endroit depuis 6 ans. Les deux jouent dans notre équipe de hockey. Ils se sont mariés l’an dernier ! Et ils viennent juste d’avoir leur premier enfant...je leur ai dit que le second prénom devrait être Rideau !
Le fait de travailler avec des membres de la famille et des amis chez Rideau a créé une incroyable culture de convivialité.
Nous aidons quand un individu a beaucoup de travail. Nous partageons les fardeaux de chacun. Nous partageons les joies de chacun.
Et, le plus important, nous avons du plaisir au travail !
Je ne suis donc pas surpris que le fait d’avoir un ami au travail est un indicateur d’engagement. C’est ainsi depuis des années chez Rideau.
Et, ai-je mentionné que Samra, la soeur de Hamud travaille chez Rideau depuis 3 ans ?
vendredi 13 février 2009
Roy Saunderson dans le National Post
Mon ami et collègue Roy Saunderson de l’Institut de gestion de la reconnaissance a écrit un article d’opinion dans le National Post d’aujourd’hui. Cliquez ici afin de lire la réponse de Roy Saunderson à la lettre de John Stumpf, PDG de Wells Fargo sur les coupures en matière de reconnaissance.
Ou consultez la page PF11 du cahier financier du National Post d’aujourd’hui.
Ou consultez la page PF11 du cahier financier du National Post d’aujourd’hui.
jeudi 12 février 2009
Merci mais non merci!
Nous sommes chanceux de compter de grands talents ici chez Rideau, plus particulièrement l’un de nos concepteurs graphiques, Richard Lytwynuk, qui est aussi notre caricaturiste! Il nous aide à mettre un peu d’humour en parodiant les horreurs que commettent certains directeurs. (Ainsi, ses propos sont entendus et en travaillant chez Rideau il se protège des vilains directeurs.)
mercredi 11 février 2009
Where everybody knows your name (Où tout le monde connaît votre nom ! )
Qui peut dire d’où vient le sujet du jour ?
Voici quelques indices...
- C’était une chanson célèbre
- Ça provenait d’un grand succès télé
- Norm, Carla, Diane et Sam
- Ça décrivait un endroit
- Un bar pour être spécifique
Évidemment ça provient de la populaire émission américaine "Cheers."
Les directeurs de compagnie devraient regarder les reprises de Cheers parce que le principe de base de l’émission donne une puissante leçon quant à l’engagement des employeurs.
Dans mon dernier billet j’ai affirmé que l’engagement des employeurs est une condition préalable à l’engagement des employés. En d’autres mots, n’espérez pas obtenir l’engagement des employés si vos directeurs ne les motivent pas en ce sens.
Ça semble plutôt simple, mais à l’instar de la courtoisie de base, il s’agit de la première étape pour avoir l’impression de compter comme partie importante de quelque chose.
Par exemple, lorsque vous allez au restaurant et que le maître d’hôtel vous accueille en vous disant « Bonjour Norm ! », vous avez l’impression de faire partie de quelque chose ; vous vous sentez respecté et apprécié.
Cependant, qu’arrive-t-il si le maître d’hôtel ne se souvient pas de votre nom ? Même si vous mangez à cet endroit cinq fois par semaine et avez aidé en quelque sorte le propriétaire à envoyer ses quatre enfants au collège. Qu’arrive-t-il si on vous regarde d’un air gêné ? Sachant qu’il se rappelle de vous, qu’il sait qui vous êtes. Vous réalisez qu’il peut avoir une mauvaise journée, son hamster s’est peut-être blessé. Peu importe, vous ne pouvez vous empêcher de penser qu’il ne s’est pas soucié de se rappeler de votre nom.
C’est une situation que ni l’un ni l’autre ne souhaite et qui gêne tout le monde.
Alors qu’est-ce que les reprises de “Cheers” nous enseignent ? Qu’il est important d’avoir une culture d’entreprise “Où tout le monde connaît votre nom !”
Connaître et utiliser le prénom d’un individu est une étape importante de la véritable reconnaissance.
La reconnaissance commence par un nom !
Voici quelques indices...
- C’était une chanson célèbre
- Ça provenait d’un grand succès télé
- Norm, Carla, Diane et Sam
- Ça décrivait un endroit
- Un bar pour être spécifique
Évidemment ça provient de la populaire émission américaine "Cheers."
Les directeurs de compagnie devraient regarder les reprises de Cheers parce que le principe de base de l’émission donne une puissante leçon quant à l’engagement des employeurs.
Dans mon dernier billet j’ai affirmé que l’engagement des employeurs est une condition préalable à l’engagement des employés. En d’autres mots, n’espérez pas obtenir l’engagement des employés si vos directeurs ne les motivent pas en ce sens.
Ça semble plutôt simple, mais à l’instar de la courtoisie de base, il s’agit de la première étape pour avoir l’impression de compter comme partie importante de quelque chose.
Par exemple, lorsque vous allez au restaurant et que le maître d’hôtel vous accueille en vous disant « Bonjour Norm ! », vous avez l’impression de faire partie de quelque chose ; vous vous sentez respecté et apprécié.
Cependant, qu’arrive-t-il si le maître d’hôtel ne se souvient pas de votre nom ? Même si vous mangez à cet endroit cinq fois par semaine et avez aidé en quelque sorte le propriétaire à envoyer ses quatre enfants au collège. Qu’arrive-t-il si on vous regarde d’un air gêné ? Sachant qu’il se rappelle de vous, qu’il sait qui vous êtes. Vous réalisez qu’il peut avoir une mauvaise journée, son hamster s’est peut-être blessé. Peu importe, vous ne pouvez vous empêcher de penser qu’il ne s’est pas soucié de se rappeler de votre nom.
C’est une situation que ni l’un ni l’autre ne souhaite et qui gêne tout le monde.
Alors qu’est-ce que les reprises de “Cheers” nous enseignent ? Qu’il est important d’avoir une culture d’entreprise “Où tout le monde connaît votre nom !”
Connaître et utiliser le prénom d’un individu est une étape importante de la véritable reconnaissance.
La reconnaissance commence par un nom !
mardi 10 février 2009
Une excellente lecture… 12 : The Elements of Great Managing
Récemment j’ai lu “12: The Elements of Great Managing” sur mon lecteur de livre électronique (Kindle). Il a été écrit par Rodd Wagner et James Harter qui travaillent pour l’institut Gallup.
Le livre est basé sur 12 questions de l’Institut Gallup et sur les 10 millions d’employés et de directeurs interviewés à travers 114 pays. Chaque chapitre traite d’un élément en particulier et de son impact sur l’engagement.
Deux de ces éléments ont attiré mon attention…
Le quatrième élément sur la reconnaissance et les éloges ainsi que le dixième qui examine les avantages d’avoir un bon ami au travail sur l’engagement des employés. Il est évident que le premier m’intéresse en raison de mon travail quotidien et le second parce que chez Rideau, notre effectif est principalement constitué d’amis et de membres de la famille.
J’affirme avec plaisir qu’après la lecture de ce livre, les amis et membres de la famille peuvent continuer à travailler chez Rideau !
Vous pouvez acheter le livre sur Amazon… c’est une excellente lecture.
Le livre est basé sur 12 questions de l’Institut Gallup et sur les 10 millions d’employés et de directeurs interviewés à travers 114 pays. Chaque chapitre traite d’un élément en particulier et de son impact sur l’engagement.
Deux de ces éléments ont attiré mon attention…
Le quatrième élément sur la reconnaissance et les éloges ainsi que le dixième qui examine les avantages d’avoir un bon ami au travail sur l’engagement des employés. Il est évident que le premier m’intéresse en raison de mon travail quotidien et le second parce que chez Rideau, notre effectif est principalement constitué d’amis et de membres de la famille.
J’affirme avec plaisir qu’après la lecture de ce livre, les amis et membres de la famille peuvent continuer à travailler chez Rideau !
Vous pouvez acheter le livre sur Amazon… c’est une excellente lecture.
lundi 9 février 2009
Et maintenant pour quelque chose de complètement différent
Visitez la page de Rideau sur You Tube – vous pourrez voir quelques uns de nos vidéos y compris une brève apparition de Jean Béliveau et moi, imaginant l’auditoire en sous-vêtements afin de livrer plus élégamment votre mot de remerciement.
mardi 3 février 2009
Barack m’a envoyé un courriel!!!
C’est vrai!
Barack m’a écrit le soir de son élection... juste avant d’aller faire son discours de la victoire au Grand Park à Chicago. Je conserverai ce courriel ma vie durant!
Vrai, il a probablement envoyé le même courriel à des millions de gens, mais j’ai eu l’impression qu’il n’était destiné qu’à MOI !
Les grands communicateurs peuvent faire ça, qu’ils soient démocrates ou républicains…Ronald Reagan avait le même talent. On ne l’appelait pas le “Grand Communicateur” pour rien.
Il n’y a pas qu’en Amérique où l’on retrouve d’excellents communicateurs. Winston Churchill était capable de soulever une nation avec ses paroles… Gandhi a subjugué des millions de gens avec ses paroles et ses écrits.
Ces grands communicateurs ont en commun l’art de maîtriser les médias à leur portée et d’être constamment à l’affût de leur évolution.
Dans les années 1800, les politiciens rejoignaient les gens avec leurs écrits et leurs discours. Dans les années 1930, Franklin Roosevelt utilisa le nouveau média qu’était la radio pour parler de la Nouvelle Donne ou des réformes directement dans les foyers de millions d’Américains. En 1960, John F. Kennedy utilisa la télévision pour se rendre à la Maison Blanche.
L’Internet existe depuis un bon bout de temps mais Barack Obama est le premier politicien à maîtriser sa puissance. Des millions de gens consultent ses pages sur Twitter et Facebook. Le Président Obama a rehaussé la barre...et désormais, aucun politicien ne pourra remporter de siège important sans comprendre et maîtriser ce nouveau moyen de communication.
Les chefs d’entreprise et gestionnaires des programmes de reconnaissance d’aujourd’hui peuvent en apprendre beaucoup sur les communications auprès du nouveau Président.
Premièrement, faites en sorte que ce soit une affaire personnelle afin que le récipiendaire ait la même impression que moi quand Barack m’a envoyé son courriel. Assurez-vous de maîtriser tous les puissants médias électroniques qui existent ; Facebook, Twitter, LinkedIn, etc… Ils vous aideront à livrer votre message rapidement à un vaste auditoire. Les professionnels de la reconnaissance doivent faire la même chose. Utilisez tous les outils offerts sur Internet dans vos programmes de reconnaissance.
Barack m’a écrit le soir de son élection... juste avant d’aller faire son discours de la victoire au Grand Park à Chicago. Je conserverai ce courriel ma vie durant!
Vrai, il a probablement envoyé le même courriel à des millions de gens, mais j’ai eu l’impression qu’il n’était destiné qu’à MOI !
Les grands communicateurs peuvent faire ça, qu’ils soient démocrates ou républicains…Ronald Reagan avait le même talent. On ne l’appelait pas le “Grand Communicateur” pour rien.
Il n’y a pas qu’en Amérique où l’on retrouve d’excellents communicateurs. Winston Churchill était capable de soulever une nation avec ses paroles… Gandhi a subjugué des millions de gens avec ses paroles et ses écrits.
Ces grands communicateurs ont en commun l’art de maîtriser les médias à leur portée et d’être constamment à l’affût de leur évolution.
Dans les années 1800, les politiciens rejoignaient les gens avec leurs écrits et leurs discours. Dans les années 1930, Franklin Roosevelt utilisa le nouveau média qu’était la radio pour parler de la Nouvelle Donne ou des réformes directement dans les foyers de millions d’Américains. En 1960, John F. Kennedy utilisa la télévision pour se rendre à la Maison Blanche.
L’Internet existe depuis un bon bout de temps mais Barack Obama est le premier politicien à maîtriser sa puissance. Des millions de gens consultent ses pages sur Twitter et Facebook. Le Président Obama a rehaussé la barre...et désormais, aucun politicien ne pourra remporter de siège important sans comprendre et maîtriser ce nouveau moyen de communication.
Les chefs d’entreprise et gestionnaires des programmes de reconnaissance d’aujourd’hui peuvent en apprendre beaucoup sur les communications auprès du nouveau Président.
Premièrement, faites en sorte que ce soit une affaire personnelle afin que le récipiendaire ait la même impression que moi quand Barack m’a envoyé son courriel. Assurez-vous de maîtriser tous les puissants médias électroniques qui existent ; Facebook, Twitter, LinkedIn, etc… Ils vous aideront à livrer votre message rapidement à un vaste auditoire. Les professionnels de la reconnaissance doivent faire la même chose. Utilisez tous les outils offerts sur Internet dans vos programmes de reconnaissance.
lundi 2 février 2009
PD³G
La cérémonie d’investiture du Président Barack Obama qui s’est déroulée la semaine dernière fut très impressionnante. Nos techniciens ont fait en sorte que les employés puissent suivre cet événement historique sur l’Internet et à la télévision dans nos différentes installations. J’ai écouté le discours du Président Obama dans l’une de nos cafétérias avec environ quinze collègues. Ce fut un événement historique très touchant.
Tandis que j’écoutais le discours inaugural du Président, j’étais un peu déçu... c’était bon mais pas EXTRAORDINAIRE.
Le week-end dernier, j’ai pris le temps de lire le discours et j’ai changé mon idée... c’était EXTRAORDINAIRE ! Le ton et le contenu étaient parfaits pour notre époque.
Lisez ces quelques lignes de l’allocution du Président Obama…
J’ai aussi réalisé que le Président Obama est non seulement le premier dirigeant politique du pays, c'est aussi un PDG de l’émotivité et PDG de l’engagement. Je crois que le Président a lu et perçu l’humeur de l’Amérique. Il engage tous les Américains avec son appel à agir. Ses mots parlent d’eux-mêmes…
Et, comme c’est super d’avoir un PDG qui a compris... les directeurs peuvent y arriver aussi ! Quiconque en position de leadership doit comprendre les émotions de ses employés et faire en sorte d’engager ces derniers.
Voilà pour le concept PD³G… aussi essentiel pour les entreprises contemporaines que l’H2O pour les humains !
Tandis que j’écoutais le discours inaugural du Président, j’étais un peu déçu... c’était bon mais pas EXTRAORDINAIRE.
Le week-end dernier, j’ai pris le temps de lire le discours et j’ai changé mon idée... c’était EXTRAORDINAIRE ! Le ton et le contenu étaient parfaits pour notre époque.
Lisez ces quelques lignes de l’allocution du Président Obama…
~ En ce jour, nous sommes réunis parce que nous avons préféré l'espoir à la crainte, l'union au conflit et à la dissension.
~ A partir d'aujourd'hui, nous devons nous relever, nous secouer et commencer à refonder l'Amérique.
~ Ce que nous devons faire à présent, c'est entrer dans une nouvelle ère de responsabilité – c'est de reconnaître, et chaque Américain doit le faire, que nous avons des devoirs envers nous-mêmes, envers notre nation et envers le monde. Des devoirs que nous n'acceptons pas à contrecœur, mais que nous sommes contents d'assumer, sachant pertinemment que rien n'est aussi satisfaisant pour l'esprit, aussi marquant pour notre caractère, que de nous consacrer tous à une tâche difficile.
J’ai aussi réalisé que le Président Obama est non seulement le premier dirigeant politique du pays, c'est aussi un PDG de l’émotivité et PDG de l’engagement. Je crois que le Président a lu et perçu l’humeur de l’Amérique. Il engage tous les Américains avec son appel à agir. Ses mots parlent d’eux-mêmes…
~ C’est là le prix et la promesse de la citoyenneté.Alors comment appliquer tout ça aux professionnels de la reconnaissance ? J’ai souvent dit que l’engagement des employés est impossible sans celui des employeurs. L’engagement des employeurs consiste en partie à comprendre ce que ressentent les employés et à les toucher avec des mots et des mesures qui permettront d’améliorer le milieu de travail.
Et, comme c’est super d’avoir un PDG qui a compris... les directeurs peuvent y arriver aussi ! Quiconque en position de leadership doit comprendre les émotions de ses employés et faire en sorte d’engager ces derniers.
Voilà pour le concept PD³G… aussi essentiel pour les entreprises contemporaines que l’H2O pour les humains !
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