lundi 11 mai 2009
Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir
Voici un passage de la Bible sur lequel à la fois les théologiens et les scientifiques s’entendent :
« Acte 20,35 : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir ».
Nombreux sont ceux qui ont intégré cette maxime à leur vie quotidienne. Or, il est dorénavant prouvé scientifiquement qu’en aidant les autres, on améliore sa propre qualité de vie, et ce, pour plusieurs raisons.
D’abord à cause de l’effet boomerang. Lorsqu’on donne à quelqu’un, il y a de bonnes chances qu’on reçoive quelque chose en retour de cette personne. Et, peu importe le don – une carte postale, une carte d’anniversaire, des fleurs, une bouteille de vin lorsqu’on est invité à souper – il y a de grandes chances pour que la personne qui a reçu rende la pareille, non seulement parce que ce geste est attendu, mais aussi parce qu’il fait du bien à la personne qui donne.
Les raisons :
Il est scientifiquement prouvé que le don augmente la tranquillité d’esprit de la personne qui donne en libérant dans son cerveau certaines hormones contribuant à son bien-être. Une étude portant sur des personnes atteintes de la sclérose en plaques a montré que celles qui « aident » d’autres patients augmentent leur confiance en elles et leur estime de soi, et que leur vie en général s’en trouve améliorée. Il est également prouvé que le don réduit le stress et active des zones du cerveau associées aux sentiments positifs.
La reconnaissance et le don vont de pair. Chaque fois que l’on accorde de l’attention à quelqu’un par des mots, des louanges ou une appréciation de son travail, on « fait un don » à cette personne. Et la personne qui reçoit n’est pas la seule à en bénéficier : la personne qui donne vit également des émotions positives!
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