vendredi 31 juillet 2009

Mon ami Mark!

Avec un bon compliment, je peux vivre deux mois! - Mark Twain

Un de mes auteurs préférés de tous les temps est Samuel Clemens, mieux connu sous son pseudonyme… Mark Twain!

Né au Missouri en 1835, plusieurs considèrent Mark Twain comme étant le père de la littérature américaine.

C’est grâce à ses romans, notamment, « Le voyage des innocents », « Les aventures de Huckleberry Finn » et « Les aventures de Tom Sawyer », qu’il a acquis sa célébrité et sa renommée à l’échelle mondiale.

Mark Twain est décédé en 1910, mais son humour, sa satire et ses écrits sont encore d’actualité. Il a une vision exceptionnelle de la reconnaissance et des éloges; nous pouvons tous y tirer des leçons fondamentales sur la façon de vivre et de travailler les uns avec les autres!

Au cours des dernières années, mes collègues et moi avons conclu bon nombre de présentations avec la fameuse citation de Mark Twain « Avec un bon compliment, je peux vivre deux mois! ».

Ma très chère collègue Louise Sa a réuni quelques unes des perles de Mark Twain et j’en afficherai une par semaine sous la rubrique « Mon ami Mark! »

J’espère que vous les lirez avec plaisir et en tirerez des leçons!

jeudi 30 juillet 2009

Reconnaissance du fond du cœur

Le site EmployersWeb.com vient de publier mon article sur ce que les compagnies de reconnaissance devraient faire lorsque le moral de leurs employés est bas. Vous pouvez lire l’article ici.

mercredi 29 juillet 2009

Article "Ask the Experts" du magazine Incentive

Vous désirez obtenir plus d'information sur la reconnaissance ? Dans l'article "Ask the Experts" du numéro de juillet du magazine Incentive, mes collègues Michelle Smith, Dee Hansford, Kevin Cronin et moi répondons aux questions suivantes :

• En tant que propriétaire d’entreprise, je me demande si mon équipe de gestion va continuer à être centrée sur le but à atteindre et me rester fidèle. Que me proposeriez-vous ?
• Durant la saison estivale, quels sont les outils à petit budget et pertinents pour que le pique-nique des employés continue d’être un événement important qui est apprécié de tous ?
• Mon équipe de gestion me demande si, à la lumière de la conjoncture économique chétive, le pique-nique annuel de l’entreprise devrait avoir lieu.
• Que devrais-je faire pour me préparer à témoigner de la reconnaissance une fois la récession terminée ?


Ma contribution portait sur la dernière question. Découvrez ici comment vous pouvez conserver votre avantage concurrentiel durant la récession !


Avez-vous d'autres questions sur la reconnaissance ? Laissez-moi une note dans la section commentaires ci-dessous !

lundi 27 juillet 2009

Et moi, est-ce que je compte pour des prunes ?

Dans un billet antérieur, j’ai écrit que l’« aventure de la reconnaissance » de Roy Saunderson était une bonne affaire pour moi !

Je ne suis plus tout à fait certain… Roy a lancé un blogue rival sur la reconnaissance et il semble maintenant que mes deux lecteurs (papa et Veronica, ma fille de quatorze ans) m’aient fait faux bond à son profit ! Mes leçons sur la fidélité ont manifestement été un échec ! Je commence à penser que je compte pour des prunes !

Je vous recommande sérieusement de consulter le nouveau blogue de Roy. Vous y trouverez les principes, stratégies et techniques de reconnaissance primés qui sont porteurs de résultats. Vous pourrez aussi y découvrir la perspective de Roy sur les compétences pratiques pour témoigner de la reconnaissance, ainsi que sur les nouvelles techniques se prêtant à la création d’une culture axée sur l’appréciation, les éloges et la reconnaissance dans le milieu de travail.

mercredi 22 juillet 2009

L’avenir est ici… il s’agit du « réseautage social de reconnaissance »

Nous avons tous entendu parler du réseautage social… Facebook, Twitter, LinkedIn, Plaxo, Digg, MySpace, YouTube, etc… Chaque semaine, des millions de personnes créent des comptes personnels afin de communiquer de l’information et de prendre contact avec leurs connaissances.

Aujourd’hui, de plus en plus de sociétés suivent le mouvement et commencent à établir leurs propres « réseaux sociaux d’entreprise ». Elles se trouvent à mettre contribution le potentiel combiné des gens et du Web en vue de transmettre leur message directement au consommateur.

Ce phénomène touchera également notre industrie… J’estime que les entreprises utiliseront les « réseaux sociaux de reconnaissance » pour mettre en place des programmes qui permettront aux gens de se reconnaître mutuellement. Lorsque les employés cultivent de solides relations avec leur employeur, leur propre succès va de pair avec celui de l’entreprise. Il n’est toutefois pas nécessaire qu’un réseau social de reconnaissance soit doté d’un élément de « récompense ». La reconnaissance agit comme la récompense. Elle établit les rapports qui sont un facteur essentiel au bon rendement des affaires.

Selon une étude réalisée par la firme Gallup, les employés qui disent travailler au même endroit que leur meilleur ami suscitent auprès de leurs clients une satisfaction « de 5 à 10 % supérieure à ceux qui sont issus de groupes impersonnels ou acrimonieux, ce qui explique la différence entre le succès et l’échec dans de nombreuses organisations. »

C’est pour cette raison que je suis fier d’annoncer la formation d’un partenariat exclusif entre les sociétés Rideau et PollStream. Cette dernière est un fournisseur de solutions de premier plan en matière d’engagement interactif et de développement de la conscience communautaire. Pollstream permettra à nos clients de reconnaître les employés, de susciter leur participation, de les informer et de les renseigner dans le cadre de dialogues bidirectionnels en ligne… et ce, toujours dans le but de renforcer les partenariats. Pour consulter le communiqué de presse, rendez-vous à l’adresse suivante : http://www.rideau.com/FR/news.asp?PressCode=310

lundi 20 juillet 2009

Relais pour la vie de la Société américaine du cancer

L'équipe de Plattsburgh
Le cancer est une terrible maladie. Il a emporté trop d'être aimés trop tôt. Le cancer a emporté ma mère il y a 9 ans. Il y a 18 mois, il emportait Jeff Mills. Il y a trois semaines il emportait Michelle Verville, notre plus ancienne employée.

Plusieurs autres dans notre cercle d'amis continuent de se battre quotidiennement contre le cancer. Nos pensées et nos prières les accompagnent.

Puis, il y a les survivants...ceux qui ont vaincu le cancer et mènent une vie en santé et bien remplie.

La semaine passé, je vous ai parlé de Cristal Bordeleau, cette semaine, je vais vous raconter comment Rideau et mes collègues ont soutenu l'événement le Relais pour la vie de la Société américaine du cancer.
Mike Korash, SaraLynn
Mills and Ann Collins

Je suis tellement fier que TOUT LE PERSONNEL de notre centre de distribution américain ait contribué ou participé d'une façon ou d'une autre au Relais pour la vie à Plattsburgh.

Le relais a commencé le vendredi à 19 h et pris fin le samedi à 7 h. Deux de nos collègues, Pearl Mills (l'épouse de Jeff Mills) et Marie Pringer ont tenu le coup toute la nuit. Le reste de l'équipe a rampé vers les sacs de couchage à un point ou à un autre durant la soirée mais ils étaient présents et ont participé. Ils ont allumé des chandelles blanches portant le nom des êtres aimés décédés des suites du cancer autour du sentier où marchaient les gens.

Pearl Mills
Rob Collier, le Directeur de notre centre de distribution a dit que tout le monde avait eu du bon temps pour cette noble cause. L’équipe Plattsburgh de Rideau a amassé plus de 1,000$ à l’aide d’employés, amis, fournisseurs, vente de pâtisseries et tirages. Rideau paiera le même montant amassé par l’équipe Plattsburgh pour un total de 2,000$. Nous planifions participer de nouveau l'an prochain. Ce qui impressionne le plus c'est que la petite ville de Plattsburgh a réussi à amasser environ 175,00 $ durant cette soirée !

Un jour nous vaincrons le cancer.

jeudi 16 juillet 2009

Une histoire extraordinaire. Une dame, une collègue et une amie extraordinaire

Le 5 juin j’écrivais un article sur Cristal Bordeleau. Je l’appelais la grande unificatrice de Rideau. La raison étant que Cristal Bordeleau avait rallié toute la compagnie à sa cause afin d’amasser de l’argent pour participer au cyclo-défi contre le cancer. Cristal a pédalé sur plus de 200 kilomètres entre Montréal et Québec pendant deux jours sous la pluie abondante.

Cristal m’a envoyé un courriel au sujet de sa randonnée. Avec sa permission et celle des personnes mentionnées dans le courriel, je l’affiche tel quel avec les photos reçues. Le courriel parle de lui-même et se lit sans commentaire.

Ça en dit beaucoup sur Cristal… Ça en dit beaucoup sur Rideau.

Je suis tellement fier de Cristal et reconnaissant qu’elle fasse partie de la famille Rideau.

De : Cristal Bordeleau
Envoyé : Le mercredi 15 juillet 2009 11:26 AM
À : Peter Hart
Objet : Cyclo-défi contre le cancer 2009

Cher Peter,

Permettez-moi de commencer en disant merci. Merci à vous pour votre soutien, votre générosité et vos paroles encourageantes. Honnêtement, je manque de mots pour vous exprimer toute ma gratitude adéquatement. Sans votre soutien, et la famille de Rideau, je n’aurais jamais pu participer à cette magnifique aventure. Je parle d’aventure car pour moi partir du point A pour se rendre au point B c’est une destination mais de vivre entre le point A et le point B c’est une aventure. Se lever à 4 h 30 le samedi matin fut tout un exploit. À ce moment là, ma perception de la vie demeurait la même. C’était seulement moi, Cristal se préparant à faire du vélo pour une cause. Je n’étais pas préparée pour la suite.

Je suis arrivée au stade olympique à 6 h 30 pour prendre mon maillot, enregistrer mon vélo, m’inscrire et transporter mon équipement vers les camions, etc. J’étais occupée et plus ou moins consciente de mon environnement. Il y avait beaucoup d’informations à assimiler d’un seul coup. On nous a servi un déjeuner continental et nous pouvions entendre le son des crampons et vélos tout autour, c’était un peu mouvementé.

7 h, les haut-parleurs se faisaient entendre “Tous les cyclistes doivent s’avancer vers la ligne de départ, veuillez vous rendre à la ligne de départ, nous commencerons les cérémonies d’ouverture...”

"Permettez-moi de commencer en vous remerciant de nous aider à amasser des fonds pour faire avancer la recherche sur le cancer de l’Hôpital général juif…”

"... Aujourd’hui, nous sommes fiers de dire que pour notre premier cyclo-défi contre le cancer au Québec, vous êtes 1450 cyclistes qui avez permis de ramasser 5,7 millions de dollars...”

“... Veuillez vous donner une bonne main d’applaudissements…”

Lorsque j’ai entendu ces chiffres, je me tenais debout et très fière en pensant que ma famille Rideau avait contribué à réunir cet énorme montant. Mon coeur battait fort.

7 h 45

“... Cyclistes, votre sueur n’est rien à comparer aux larmes et à la peine des patients souffrant de cancer, mais votre soutien leur apportera un réconfort, maintenant soyez fiers et pédalez... "

Après cette phrase, j’ai tourné la tête afin de me mettre en ligne et ce que j’ai vu a changé ma perception sur la vie ainsi que sur la force et l’unité des humains. J’en ai perdu le souffle. Une jeune fille, pas plus vieille que Veronica, se tenait avec sa mère, les larmes glissant sur ses joues et tout ce que j’ai vu c’est qu’elle touchait son coeur avec sa main en disant “Merci” à tous les cyclistes qui passaient près d’elle. C’était un visage de résilience, de peine et de gratitude. J’ai pédalé dans le stade olympique avec des larmes dans mon coeur et sur mon visage. Cette jeune fille m’a touchée pour toujours.

Jour un :

Les raisons pour lesquelles je participais à ce cyclo-défi devenaient plus claires et je savais que je ne pourrais le faire seule, j’avais besoin d’une source d’inspiration extérieure. J’ai pensé à Francine, qui en me faisant une étreinte vendredi me remerciait tout en m’expliquant ses craintes, j’ai pensé à ma mère d’adoption qui a vaincu deux cancers du sein et a survécu, à mon grand-père qui a vaincu deux cancers et a survécu et à deux autres qui étaient avec moi, même si je ne les connaissais pas, Mimi pour sa force, son courage, son esprit vif et ses paroles préventives lorsqu’elle a visité Rideau pour nous parler de l’importance des examens et bien entendu, j’ai aussi pensé à votre mère. Je savais que je pédalais pour deux familles, la mienne et ma famille adoptive. L’amour, la compassion et la résilience de ceux qui m’entouraient m’ont permis de passer à travers la première journée.


À travers la pluie, les côtes, les paysages ruraux splendides, je pédalais à en perdre haleine. Je devenais de plus en plus consciente que j’étais un peu folle de faire cette randonnée sur un vélo de montagne... ce fut ma première «note à moi-même : prochaine fois, un vélo pour la route.» :) J’ai passé une grande partie de la première journée à pédaler seule. Ça permet de réfléchir. Entre chaque arrêt, il y avait des «postes d’encouragement.» Ça réconfortait d’entendre des mots d’encouragement et des applaudissements tandis que je pédalais, ça m’a donné ainsi un regain d’énergie. Tout au long de ces stations il y avait des survivants du cancer exprimant de vive voix leurs remerciements. Je ne pouvais que répondre par des yeux humides et un doux sourire, aucun mot ne pourrait jamais exprimer tout ce que je ressentais pour eux.

J’ai traversé Trois-Rivières à 16 h 45 toujours sous la pluie... beaucoup de pluie. Chaleur et froid. Mes jambes étaient en feu. J’ai appris que j’étais à 15 minutes du camp de base. 17 h pile, j’arrivais à la destination de la première journée. Trempée, frissonnante, courbaturée et ne formant qu’un tout avec mon vélo, je me suis rendue au parc de stationnement des vélos et j’ai entendu cet air qui m’a fait sourire et pleurer. Ce n’était ni une ballade ni une chanson d’amour... c’était YMCA :). J’étais pressée de sauter dans la douche et de trouver chaleur et confort dans mon molleton Rideau.

Les festivités furent agréables. La bonne humeur régnait. Des musiciens ont joué et le premier jour se terminait. 20 h 45, je dormais dans ma tente.


La nuit fut pluvieuse et froide mais ça valait la peine sauf pour ‘l’appel de la nature’ à 1 h du matin... appel dont j’aurais pu me passer… :)

Jour deux :

4 h 45 Grand réveil. Ramassage de tout l’équipement (mouillé) et déjeuner. Discussion avec quelques personnes et on a estimé qu’environ 1/4 des cyclistes ne partiraient pas. Il y a eu plusieurs blessures le jour précédent variant entre égratignures, coupures, support cervicale et hypothermie. J’étais chanceuse, je n’avais rien. Je n’avais que les jambes endolories et un genou très sensible mais mon coeur était prêt à aller de l’avant.

Le déjeuner fut servi et à 7 h j’étais prête à partir. Le système de haut-parleurs s’est fait entendre de nouveau pour nous indiquer la route, même si nous avions un livret et nous souhaiter une randonnée en toute sécurité. Tandis que nous pédalions et que j’avais roulé sur 10 km, je savais que j’avais un problème. Je me suis rendue au premier arrêt et j’aurais dû rester là mais je ne l’ai pas fait. J’ai continué vers le deuxième arrêt, un autre 20 kilomètres plus loin et j’ai ressenti une douleur atroce, mais mon entêtement et ma détermination me poussaient à me rendre à l’arrêt pour le lunch. Tandis que je pédalais, j’ai rencontré un monsieur qui m’a soutenue sans savoir qu’il me donnait une grande leçon sur le fait de ne jamais abandonner, mais c’est une autre histoire. L’arrêt pour le lunch, 30 kilomètres plus loin pratiquement toujours en pente. Donald et moi avons parlé tout au long du parcours. Il a une belle philosophie de la vie et les sauveteurs ainsi que les bénévoles l’appelaient Monsieur Sourire avec raison. Et bien, Monsieur Sourire et moi avons lunché ensemble et nous nous sommes dirigés vers le troisième arrêt, celui où je ne me suis jamais rendue.

Je dois admettre que ce fut la chose la plus difficile à faire pour moi alors que je savais que je lâcherais mais, Donald a trouvé les bons mots qui ont fait en sorte que j’ai fait signe aux ambulanciers. Il m’a dit «Cristal, quel serait le but de détruire complètement ton genou aujourd’hui ? Ça veut dire que tu ne pourrais plus participer l’an prochain. Tu ne lâches pas, tu t’épargnes pour le deuxième tour... » Il avait raison !

Les sauveteurs sont venus me chercher et ont pris bien soin de moi. De la glace pendant 6 heures, traitement appliqué à ma grande surprise par l’épouse de Donald. J’ignorais alors que je venais de me faire des amis pour la vie. Ce fut agréable d’être en compagnie de l’épouse de Donald car j’étais sur place pour le voir arriver à 18 h, le dernier cycliste à traverser les arches avec un grand sourire. Ils ont eu la gentillesse de me ramener chez moi en toute sécurité.

Merci Peter de lire mon aventure et pour l’étreinte d’hier :)

Sincèrement

CJ

p.s. Ce molleton Rideau m’a sauvé la vie... Comme je disais, cette couverture fut non seulement une source de chaleur, de confort mais aussi de force et de courage tandis que je la regardais en montant les pentes et que je voyais le visage de tous mes collègues qui m’ont soutenue et, elle m’a aussi permis d’épargner mes fesses :) car ma selle n’étant pas la meilleure, la couverture est devenue un coussin à plusieurs reprises. Hourra pour la couverture Rideau.

p.p.s. Un merci spécial à Trinh, pour son coup de main avec mes messages textes durant le week-end. La prochaine fois, le personnel de notre service participera à la marche de 5 km le 4 octobre prochain.

lundi 13 juillet 2009

L’assemblée publique de Rideau

Je crois fermement au fait d'aller à la rencontre des employés et de communiquer avec eux. À mon avis, il n'y a jamais "trop" de communication.

Chez Rideau, nous organisons des assemblées trimestrielles pour communiquer avec les employés.

Mon frère Stephen et moi animons environ 8 de ces séances sur une période de deux jours. Nos rencontres durent environ une heure et on compte de 30 à 35 employés à chacune. Elles se déroulent en anglais et en français.

Les assemblées comportent trois volets :
1. États financiers
2. État de la clientèle
3. État des employés

Ce modèle d'assemblée fut proposé par Isabelle Lavigne, notre VP du personnel et de la culture avec l'idée que l'état de chacun de ces volets doit être positif pour que Rideau prospère.

En ce qui concerne le volet des États financiers, nous comparons les ventes et les profits au plan original. Nous expliquons les différences le cas échéant et essayons de fournir les prévisions pour la fin de l'exercice financier.

Le volet État de la clientèle nous permet d'informer nos employés sur les gains, les pertes, les menaces et les occasions. Nous parlons de ce qui nous empêche de dormir Stephen et moi la nuit.

Le volet État des employés est réservé aux discussions sur de nombreux sujets. Lors de notre dernière assemblée, nous avons parlé des résultats du sondage d'opinion auprès de nos employés et du plan d'action établi par la suite. Nous avons parlé de la récente certification ISO 9001 de Rideau et de notre plan d'amélioration continue. Nous avons parlé des projets achevés dans le cadre de ce plan, de ceux qui sont en cours et à venir. Nous avons également parlé des programmes de formation et de développement de carrière.

Nous profitons également de ces assemblées pour souligner les réalisations extraordinaires de nos collègues.

La responsabilité sociale d'une entreprise est un enjeu majeur pour Rideau et nous terminons toujours nos assemblées en parlant des initiatives qui font de Rideau une meilleure compagnie.

Le thème de ce trimestre était consacré à l'eau. Voici quelques informations fournies par nos employés :

- Globalement, une personne sur six n'a pas accès à de l'eau potable fraîche.
- Un enfant meurt aux huit secondes en raison d'un manque d'eau potable.
- Le Nord-Américain moyen utilise 575 litres d'eau par jour ! Au Mozambique, la moyenne est de 10 litres par jour.

Je suis fier de dire que toutes ces informations font partie d'un effort collectif pour que chez Rideau nous nous débarrassions des bouteilles d'eau jetables ce que nous avons réussi au cours du dernier trimestre !

À la fin de chaque assemblée, nous remettons un petit cadeau à chaque employé. Cette fois nous avons remis une bouteille d'eau réutilisable.

Ces assemblées sont cruciales pour avoir des employés engagés en pleine connaissance de cause chez Rideau.

vendredi 10 juillet 2009

C'est mieux que le nettoyage du garage !

Il y a quelques semaines j'ai écrit au sujet de l'Incentive Federation et du travail formidable de cet organisme pour avoir un programme de sensibilisation législatif.

Au cas où vous n'auriez pas lu l'article, l'Incentive Federation travaille à définir l'industrie de la stimulation et de la reconnaissance de sorte que les gouvernements comprennent comment nos activités jouent un rôle clé dans la promotion d'un milieu de travail plus agréable et plus sain. Nous espérons qu'ainsi, ils créeront une loi afin de nous permettre d'atteindre ces objectifs.

Bien, l'autre jour, j'ai reçu un appel de George Delta. Il voulait savoir si Arne Carlson, un des membres de mon Conseil, pourrait donner quelques conseils sur la façon dont l'Incentive Federation pourrait procéder.

C'était une excellente idée ! Arne a eu beaucoup de succès à titre de Gouverneur de l'état du Minnesota pendant deux mandats. Il connaît tous les rouages du système.

J'ai donc téléphoné au domicile des Carlson… c'était mon deuxième appel de la journée !

Mon premier étant pour régler des détails relatifs à la prochaine réunion du Conseil à Montréal. C'est Susan, l'épouse de Arne qui a répondu au téléphone. Arne n'était pas disponible. Il faisait le ménage de son garage ! Mais c'était correct ! Susan doit aussi venir à Montréal alors nous avons discuté des détails sans Arne.

La deuxième fois que j'ai téléphoné à Arne, c'est lui qui a répondu. Je lui ai expliqué la demande de George et suggéré d'organiser un appel conférence pour la semaine suivante. Arne a répondu en disant « Pourquoi pas maintenant ? Ce serait mieux que de nettoyer le garage ! » Ainsi, si la nouvelle loi est promulguée avec succès, rappelons-nous que l'une des raisons de son adoption relevait du désir d'un ancien Gouverneur de se sauver de ses tâches ménagères !

mercredi 8 juillet 2009

Reconnaissance du fond du coeur

Le site EmployersWeb.com vient de publier mes opinions sur les programmes de reconnaissance en période de récession ainsi que sur la valeur de la véritable reconnaissance ! Vous pouvez lire l’article ici.

lundi 6 juillet 2009

Le périple de Roy Saunderson dans le domaine de la reconnaissance s'avère une véritable chance pour moi !

En début mai, Roy Saunderson a fait un discours d'ouverture lors de la conférence internationale annuelle des professionnels de la reconnaissance à Naples.

Cela peut vous paraître étrange mais je n'avais jamais entendu Roy parler auparavant. Oui, je suis censé diriger. Et oui, selon toute logique j'aurais dû entendre Roy parler avant d'acheter sa compagnie il y a trois ans et faire en sorte qu'il travaille avec moi !

Mais je ne l'ai pas fait... je savais que c'était la bonne chose à faire.

Roy a livré un discours puissant. Il a parlé pendant plus d'une heure. Il n'avait aucune note ni aucune présentation PowerPoint. Il n'y avait aucun accessoire autre qu'un ourson (je n'expliquerai pas pourquoi ici). Il n'y a eu aucune pause ni aucune hésitation et ni rien de ce que font habituellement les conférenciers lorsqu'ils cherchent leurs mots.

C'était une histoire simple et puissante au sujet de l'expérience personnelle de Roy dans le milieu de la reconnaissance. Une histoire qui en a fait pleurer plusieurs.

J'étais fier de faire partie du périple de Roy dans le domaine de la reconnaissance.

L'histoire de Roy, c'est ma chance. Je suis très chanceux de connaître cet homme modeste.

Son message est puissant.

Sa cause est noble.